Ode à la mère

Publié le par hypocampe2011.over-blog.com

 <!-- @page { margin: 2cm } P { margin-bottom: 0.21cm } -->

Ode à la mer

 

Elle est salée parfois effacée.

Elle a le goût et l'odeur du sel si souvent espérée.

Souvenirs tendres de moments partagés.

Elle est là et elle bouge selon les marées.

 

Elle s'en va et revient pour nous voir grandir.

Elle émerge, elle immerge pour l'avenir.

Il émane d'elle le parfum de l'enfance.

Il émane d'elle l'amour de l'enfance.

 

La chaleur du soleil nous couvre la peau.

La mer est là et nous réchauffe le dos.

 

L'aimer, c'est la respecter.

L'aimer, c'est l'attendre.

L'aimer, c'est l'espérer.

L'aimer, c'est être là à la regarder s'exprimer.

 

La mer, l'océan et selon les marées

Tour à tour loin et proche

Sans jamais vraiment s'en aller.

Elle est là et s'approche.

 

Présence rassurante de l'océan aimé.

Elle est là, elle s'énerve, elle s'affole

Elle est là, elle part puis revient dans sa course folle.

Présence rassurante de l'océan animé.

 

Savons-nous la regarder et l'aimer.

Savons-nous l'attendre et l'espérer.

Elle est là et le son de ses vagues nous endort le soir.

A la nuit tombée, elle est là dans nos pensées.

 

S'attacher à un port et la regarder encore s'en aller.

Les vagues d'elle nous restent en notre âme chavirée.

L'âme de fond restera éveillée.

La mer nous charme et nous aide à penser.

 

La mer est là, elle restera là, elle sera là.

Sans jamais s'éloigner de notre coeur et de nos pensées.

Sans jamais pouvoir réussir à l'oublier.

La mer est là, elle restera là, elle sera là.

 

Sensation espérée de l'autre qui ne s'est jamais s'y prendre.

La mer est là, il suffit de l'attendre une vie toute entière.

 

Vague à l'âme et pensées attachées.

Pensées de l'âme sans superficialité.

L'âme et le coeur a jamais attachés.

Ces mers du monde qui savent bercer.

Serons-nous vous le dire que nous vous avons tant aimées ?

Ces mers du monde qui savent nous aimer.

Serons-nous vous le faire sentir notre amour pour vous ?

Serez-vous croire que ces mers sont l'essence de nos vies ?

Entendrez-vous enfin que sans vous la vie est remplie de larmes salées ?

 

 

Le 17 décembre 2011.

Hélène Perron.

Publié dans Poésie

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article